Comme tous les matins après m'être préparé je faisais une petite promenade dans la cours du château, histoire de m'éloigner de ses idiot de Crabbe et Goyle de temps en temps, ces abrutis passaient leur vie à me suivre comme des petites chiens. Enfin, je m'asseyais sur un banc en pierre d'où j'avais une vu entière sur la cour, les carré d'herbes, les arbres rougissants, la fontaine d'eau glacée qui n'était pas encore en route, les allées dallé de pierres grise. C'était le même spectacle tous les matins, sauf que tous les matins il faisait de plus en plus frais, de plus en plus sombre et la végétation se faisait de plus en plus tombante. Les champignons commençaient à percer la pelouse.
Je me grattais la tête, cela devait au moins être la centième fois depuis ce matin !
Que diable m'arrivait-il, personne ne m'avait pourtant jeté de sort et je vérifiait mon lit tous les soirs.
Étrange.
Je me grattais et continuait ma contemplation en attendant l'heure du petit déjeuner.
Je me grattais la tête, cela devait au moins être la centième fois depuis ce matin !
Que diable m'arrivait-il, personne ne m'avait pourtant jeté de sort et je vérifiait mon lit tous les soirs.
Étrange.
Je me grattais et continuait ma contemplation en attendant l'heure du petit déjeuner.